Bérénice, Racine. Ces noms évoquent dans l’imaginaire collectif des colonnes de palais, des toges, des diadèmes. L’alexandrin, langue sacrée, s’impose. La précision du système dramatique et la pureté de cette langue en feraient presque oublier que Racine avait un goût prononcé pour l’expérimentation. Nous nous sommes appropriés la dramaturgie de Bérénice avec nos références, tant au niveau du jeu que dans la conception de l’espace, bousculant les conventions de la tragédie classique
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Mise en scène Vincent Menjou-Cortès
Scénographie et dramaturgie
Michaël Horchman
Composition musicale Motion of Hips
Travail chorégraphique jann Gallois
Création lumière Guillaume Gibelin
videomapping Claire Allente
avec Mario Bastelica, Grégoire Baujat, Vincent Menjou-Cortès, Amélie Porteu de la Morandière, Frédéric Almaviva.